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L'histoire de Bon Temps reste à écrire ...
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 Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >>

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Stefano A. Di Renzo
Stefano A. Di Renzo

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MessageSujet: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptyJeu 1 Nov - 18:14

L'enfant du diable
« « Vous êtes de simple jouet dont j'utilise selon mes envies.
Car un seul caprice de ma part peut faire de ta vie un véritable cauchemars. »


Le silence était pesant dans la pièce froide et sans vie, elle était à l'image de ses propriétaires d'une beauté sans égale. Les murs étaient habillés des plus beaux et grands tableaux du monde, dont le prix aurait pu nourrir un village tout entier pendant des années. Les nombreux meubles n'avaient rien à envier, taillé dans le meilleur bois le tout accompagnée d'ornement dorée. Mais malgré toutes ses merveilles la salle était d'une tristesse glaciale, que même les rayons de soleil ne pouvait réchauffer. Un jeune enfant était installé sur l'une des nombreuses chaises, à la place du roi face à une table beaucoup trop grande pour lui. Les domestiques immobiles ressemblaient à des statues de cire, le même costume éclatant parfaitement mis qu'on pourrait croire sans défaut. Ils avaient tous le visage crispé sans pour autant avoir la même émotion qui étirait leur trait, de la peur, de l'angoisse, de l'impatience et de la colère. Et l'unique source de leur tourment n'était autre que le petit garçon, l'héritier de la famille au caractère arrogant. Celui-ci avait le regard fixé sur l'assiette posait devant lui, un air dégouté s'était dessiné sur ses lèvres, il ne semblait pas apprécier le menu du jour. Ne prenant même pas le temps pour y gouter à cette ratatouille colorée, le ton claquait avec l'autorité d'un noble.

« Je refuse de manger ce plat de paysan ! »

Le verdict venait de tomber comme l'attendant la plupart des domestiques pourtant l'ambiance était toujours lourde, car les colères du jeune enfant gâté était redouté dans tout le manoir. Si jeune et si diabolique, il avait parfaitement compris qu'il pouvait transformer la vie des gens en véritable enfer d'un simple claquement de doigts. Les caprices étaient devenus monnaie courante dans la demeure, réduisant le personnel au rang de vulgaire insecte à écraser. Sans qu'ils puisaient réellement se défendre, Mr . Di renzo n'était pas du genre à être conciliant les traitent bien souvent comme son fils. Des secondes s'étaient écoulés depuis les paroles du garçon sans qu'aucun domestique osa répondre, pourtant il n'était pas réputer pour être patient. Ce fut une vieille dame qui amorça un mouvement en avant, prenant son courage pour oser contredire son jeune maître.

« Jeune Maître, les légumes sont très bons pour votre santé. Et malgré leur apparence le goût est très bon. »

« Non... »

« Jeune Maître, vous n'avez même pas goûté une seule bouché de ce plat. Vous ne pouvez pas dire que... »

« J'ai dit... NON ! »

Son cri fut accompagné par le fracas des assiettes qu'il avait jetés en direction de la domestique qui a osé donner son avis, se moquant aussi bien de la précieuse vaisselle que de la personne. Cette dernière s'était protégé le visage à l'aide de ses bras quand les débris de porcelaine arrivaient dans sa direction, retenant son gémissement de douleur alors que le sang s'écoulait de ses blessures. Un triste spectacle observait par tous sans qu'aucun ne réagissait pour aider la pauvre dame, le pire restait encore à venir. Stefano s'était redressé de sa chaise pour aller en direction de la domestique, d'un pas lent et à l'allure supérieur. On aurait pu le prendre pour un adulte s'il n'avait pas la taille et la voix d'un enfant, car tous ses gestes, ses paroles n'étaient que maturités. Quelle tristesse de pensée qu'un enfant âgé de huit ans n'avait jamais connu l'innocence et l'insouciance de la jeunesse. Son regard se faisait menaçant alors qu'il envoyait avec son pied la fourchette en direction de la vielle dame, cette dernière n'osait plus faire ou dire quelques choses dans l'espoir que son jeune Maître se calmerait face à sa soumission. Hélas en grandissant, le jeune garçon turbulent et capricieux était devenu plus cruel avec les gens faibles, commençant à prendre goût au pouvoir qu'il pouvait avoir sur les domestiques du manoir.

« Mange. »

« Euh...Comment ? »

« J'ai dit mange. Vu que tu semblerais tellement apprécier ce plat de paysan, il serait dommage de le jeter... Ne m'a-t-on pas toujours dis qu'il ne faut pas jeter la précieuse nourriture. Donc tu prends cette fourchette et tu manges ! »

Avaient-ils tous bien entendu ce que le Jeune Maître venait de dire ou plutôt d'ordonner à la domestique, celle-ci venait de s'effondre sur le sol encore sous le choc d'avoir entendu de telle parole. La douleur de ses blessures semblait bien plus douce comparé à l'humiliation que l'enfant voulait lui faire subir, devoir manger le plat qui était tombé sur le sol comme un vulgaire chien affamé. Elle avait parfaitement conscience qu'elle n'était pas au rang de ses Maîtres, mais elle restait un être humain comme eux, avec des sentiments, des émotions. Comment un enfant aussi jeune peut-il donner l'impression qu'on n'est qu'une petite chose bonne qu'à être utilisé pour ensuite être écrasé. Elle relevait la tête pour l'observer avec maigre espoir d'y trouver un signe de plaisanterie malsaine, son regard perçant ne semblait pas vouloir la quitter alors que sur ses lèvres s'étaient dessinés un sourire moqueur. Il était le diable en personne, sachant parfaitement qu'il venait de gagner le combat comme si tout cela n'était qu'un jeu pour lui. Car au lieu d'être un enfant comme les autres qui jouent avec ses jouets en bois, lui il s'amuse avec la vie des autres êtres humains. La vieille dame attrapa la fourchette d'une main tremblante alors que son regard s'était voilé, elle qui avait été autrefois forte et souriante à la vie malgré son rang. Regrettant le temps où ses maître n'avaient pas encore enfanté ce démon qui créa l'enfer dans le manoir.

Le Masque d'une vie
« « On peut tous être fort et cruel.
Il suffit juste de se vêtir d'un masque noir. »


Dans une immense salle de bain, un adolescent affrontait son regard à travers le reflet d'un miroir. Silencieux et oppressant l'observation durait maintenant depuis des heures sans un mouvement de sa part. On pourrait croire que le temps s'était figé dans ce lieu de mille miroirs. Puis d'une main lente et légère, elle s'était approchée de son visage pour que du bout des doigts il effaça une larme solitaire qui s'était perdue sur sa joue. L'unique signe de douleur et de souffrance, alors que sur son dos se dessinait des marques sanguinolentes, ancienne et récente. Symbole d'une punition, d'un apprentissage pour devenir un vrai homme dont son père pourrait être fier.

Flash-Black

« Pensez-vous qu'il est nécessaire de le punir ainsi, n'est-il pas trop jeune ? Cela risque de laisser des marques sur sa peau. »

« Trouvez-vous ma punition trop sévère ma chère épouse ? Voulez avoir une mauviette en guise de fils et d'héritier ? C'est avec ce genre de pensée que le monde aristocratique s'évanouira dans un futur par si lointain que ça, pour laisser place à un rang de riche indiscipliné. De plus, il me semble que mes marques ne vous ont jamais repoussé, il sera de même pour les siennes. »

« Je ne contredirais jamais vos manières d'éduquer notre fils, je contacte simplement qu'il n'a que 14 ans . »

« Il faut commencer jeune pour qu'il ne prend pas de mauvaise habitude, n'a-t-il pas pleuré lorsqu'on lui a annoncé le renvoi de sa nourrice ? On ne devrait pas avoir de sentiment pour ses domestiques, autant qu'il se met cela dans la tête rapidement. Où ma chère il pourrait très bien engendré un bâtard avec l'une des servantes une fois adulte. »

Retour au Présent

Il contemplait son dos, ses marques gravées dans la chair pour l'éternité. Grande, difforme et laide... Une souffrance qui le brulait en continue malgré les soins et les crèmes. Avec le temps elles se referment entièrement pourtant la douleur ne l'avait jamais quittée. Dans ses profonds souvenirs, il avait dû apprendre à vivre comme s'il était né avec cette blessure dans le dos. Une chose pas totalement fausse, car son Père est bien son créateur et le créateur d'une telle malédiction. Mais cette normalité ne semblait pas vraiment plaire à ses parents, qui en réfléchissant bien n'était pas vraiment normaux... Prisonnier dans un passé qui les hantaient jours après jours. Ils avaient quand même fini par modeler leur enfant selon leurs idéaux, leurs principes et leurs supériorités.

Poupée brisée par la vie
« « La justice est une illusion. »


« N'oublie jamais qui tu es, Stefano »

« Le fils d'un connard ? Pas de risque, tu me le rappelle tous les jours. »

L'air siffla et un claquement sonore l'acheva. La tête de l'adolescent tourna à 90° vers la droite. Une marque rouge ne tarda pas à apparaitre mais aucun gémissement n'avait ponctué le geste. Pas un geste de réponse. Le jeune homme se tenait droit devant son père, tout en regardant le mur.

« Regarde moi. »

L'adolescent n’obtempéra pas. Une seconde gifle le ramena dans le droit chemin et son regard bleu vert trouva celui, noir de colère et d'alcool, de son père. La face rouge, les yeux vitreux, il cracha d'un ton agressif :

« Tu te crois supérieur, avec ta belle gueule et ton insolence ? Tu portes mon nom, petit con. Je ne te laisserais pas le déshonorer. »

Un sourire goguenard étira les lèvres du jeune homme, qui répliqua d'une voix narquoise :

« Le déshonorer ? Y a-t-il jamais eu le moindre honneur attaché à ce nom de famille, père ? Quelqu'un d'influent. De respecté. De craint. »

Une nouvelle gifle résonna dans la pièce, suivie d'une quatrième pour que l'adolescent fasse de nouveau face à son père. Les joues rouges, le regard droit, le jeune homme restait immobile et fier. Dans un coin de la pièce, assis dans un luxueux fauteuil en cuir, son jumeau observait la scène d'un air profondément malheureux, désolé. Du regard, il semblait supplier l'adolescent d'en rester là, mais tout dans son attitude indiquait qu'il savait pertinemment qu'il prêchait dans le vide.

« Petit salopard. Tu es une honte, Stefano . Une honte pour cette famille,. Tu n’es qu’un vulgaire catin »

Le dénommé Stefano s'était redressé sous l'insulte. Il n'attachait peut-être aucune importance à son nom de famille, mais son sang lui importait. Pute. Son délicat, charmant et attentionné paternel l'avait traité de vulgaire catin, pute, salope, et d'autres mots tout aussi charmants. Et pire que les coups, ces mots l'avaient littéralement déchiré, réduisant sa volonté de lutter à néant. Il se sentait vide, sale, usé. Il était anéantis. Et il avait vu, le regard effrayé de sa mère, pleurant un peu plus loin, n'osant pas se jeter dans cette bataille qu'il avait déjà perdu depuis longtemps. Une injure impardonnable. Et son père, tout ivre qu'il était, le savait parfaitement.

« Oh, t'aurais-je vexé ? Pauvre petit garçon humilié par son papa ... Comme c'est triste ... »

« ASSEZ »

La voix avait résonné contre les lourdes tapisseries accrochées aux murs. Tranchante et cinglante, chargée de menaces. Et d'un seul coup, l'adolescent semblait plus grand. Plus imposant. Oh oui, il était beau. Magnifique, même. Ce genre de spécimen italien très apprécié dans la haute société. Une gueule d'ange au sourire de tombeur et au regard qu'il savait moduler pour exprimer exactement ce qu'il voulait inspirer aux gens. Très jeune, il avait su manipuler sa mère. D'un regard larmoyant ou d'un sourire charmeur, il savait obtenir tout ce qu'il voulait. De tout le monde. Sauf lui.

L'homme ivre en face de lui. Ce type qui battait régulièrement sa femme et qui couchait ici-même avec des putains venues d'ailleurs, des filles faciles qui arrivaient de l'est et avec lesquels il assouvissait des fantasmes obscènes.

« Comment as-tu osé me parler ? »

Le ton de Aliano di renzo premier du nom ressemblait à un orage au coeur de l'hiver. Glacé et pourtant si lourd. Si violent. Stefano haussa les épaules et tourna les talons. Il atteignit les grands escaliers en bois d'acajou avant que son père n'ait pu faire quoi que ce soit pour le retenir. Et alors qu'il poussait la porte de sa chambre, il entendit les hurlements terrifiés de son jumeau. Qui comme d'habitude, servirait de défouloir à l'ivrogne en colère qu'il avait laissé au rez de chaussé.

Ad vitam æternam
« « Sans espoir la fin est proche »



Azzio se laissa retomber dans le lit les yeux fermés, respirant comme un soufflet de forge. La main dégoulinante de Stefano parcourait son sexe d’un geste appréciateur, célébrant ses formes, étalant ce qui était sorti de lui. Il s’aperçut que le mâle se déplaçait jusqu’à s’allonger à ses côtés, entremêlant ses jambes aux siennes.

Le sexe de Stefano était redevenu dur. Prenant peur azzio se releva , voulant couper court a leur partie de jambe en l’air

Chut… chut. Tu ne risques rien

- Je… je ne veux pas le faire Stefano… s’il te plaît…

— Pourquoi ? Ton corps m’a déjà dit oui. Ne t’inquiète pas… (Les doigts de Stefano lui chatouillèrent la poitrine.) Ca veut dire que tu aimes ça. (La bouche du mâle embrassait ses pectoraux et ses épaules.) Je veux te faire l’amour... si tu m’y autorises.

Azzio ferma les yeux avec force quand sa queue tressauta et qu’un nid de serpents sembla se mouvoir dans ses entrailles. Une odeur de cuir, un corps musculeux et des yeux dépareillés eurent l’audace d’apparaître dans son esprit et son coeur se serra en un pincement d’agonie terrible.
Le corps de Stefano était chaud sur le sien, ses mains et sa bouche réveillaient de nouveau son désir. Il était sensuel, attentionné et compréhensif – plus que Azzio ne s’y attendait. Plus qu’il ne pouvait le comprendre. Il chercha sa bouche, attirant sa langue, caressant ses canines tandis que le mâle ronronnait. Leurs corps coulissaient, rendus glissants par les fluides que les deux mâles avaient sur le ventre. Le contact de leurs érections suffisait à leur donner des frissons.

— Oui, murmura-t-il contre les lèvres douces, les mains accrochées dans ses cheveux blonds. Fais-moi l’amour.

Stefano se déplaça entre ses jambes, puis il ondula – imitant ce qui allait arriver – tout en mordillant son cou. Et le corps élancé réprima un tremblement.


— Ça te fera un peu… mal. Il n’y a pas de lubrifiant ici.

Stefano le regarda, les joues rougies, les lèvres gonflées. Il n’était pas un vampire, mais il était sacrément magnifique.

— Ça ne me dérange pas, affirma Azzio .

Stefano plaça sa main entre eux la mouillant de leurs spermes.

— Laisse-moi faire… (Il commença à descendre le long de son corps.) Laisse-moi prendre soin de toi.

— Tu le fais déjà...

Azzio ne sut pas si le mâle entendit son murmure, mais il espérait que ce soit le cas.

Il garda les mains dans les cheveux blonds. Ce contact lui donnait du courage alors que Stefano séparait ses cuisses, les repoussant jusqu’à lui faire plier les genoux, lui écartant les jambes. Il laissa échapper un léger soupir quand la langue du mâle le recouvrit de nouveau, le faisant se durcir, jouant et calmant son appréhension dans le plaisir. Azzio appuya sa tête contre les oreillers quand Stefano prit ses bourses dans la bouche, alternant avec sa queue pendant que ses doigts s’humectaient de fluides et glissaient plus bas encore, le laissant s’habituer à la sensation.
Et soudain, quelque chose entra en lui.

Dures comme de la pierre, les fesses de Azzio se soulevèrent du lit. Il avait la sensation d’avoir du feu dans les veines à la place du sang.

— Douce Vierge...

— Tu n’as aucune idée... (Un doigt se déplaça très lentement tandis que la bouche de Stefano revint sur sa queue, l’embrassant et la suçant,) …de l’être extraordinaire que tu es.

Comme par enchantement, les muscles de Azzio se détendirent. Il inspira profondément, s’obligeant à se calmer. Le silence de la chambre amplifiait les bruits humides de sexe. Azzio était enveloppé dans un moment intime, un moment qui lui était personnellement destiné. Il se courba en arrière en constatant une nouvelle invasion qui l’élargissait davantage. Mais il ouvrit davantage les jambes au lieu de se contracter.

Et tout lui semblait normal. C’était ce qu’il avait attendu ! Le genre de sexe qui lui plaisait. Les yeux fermés, il s’abandonna aux caresses, à la sensation des longs doigts en lui. Il gémit lorsque Stefano devint encore plus invasif, jusqu’à ce que ses muscles tendus s’habituent.

Quand Stefano remonta vers lui pour l’embrasser, il ouvrit les yeux, surpris par l’interruption et sans savoir depuis combien de temps il se tordait et haletait. Les prunelles bleu pâle croisèrent un regard gris clair. Il y avait, dans les yeux de Stefano, une expression particulière qui n’avait rien à voir avec la séduction que Azzio y avait vue jusqu’à présent, ni avec la simple luxure. Cela ressemblait plutôt à de la tendresse combinée avec de la nostalgie.

— C’est le moment, Azzio y, murmura le mâle blond. Je veux que tu choisisses la position. Je peux te donner ce que tu veux... ou tu peux me prendre à tes conditions et à ton rythme.

La gorge de Azzio se noua et ses yeux le brûlèrent.

— Á mes… conditions…, bredouilla-t-il, mais il n’avait presque plus de voix.

0 ne répondit pas. Il l’embrassa simplement avant de basculer pour les faire changer de position : lui sur le dos tandis que Azzio s’asseyait à califourchon sur ses hanches. Puis Stefano plia les genoux et frotta son érection entre les fesses de Azzio , s’y insinuant.

Le mâle brun essaya de respirer sans haleter. C’était une chose de dire être prêt… et une autre de passer à l’acte. Les mains du mâle caressèrent ses cuisses, conservant cette expression chaleureuse.

— Laisse-moi t’aider, chuchota Stefano . Tu diriges, et tu me laisses seulement t’aider.

Azzio hocha la tête. Bon sang, qu’était-il supposé répondre d’autre ?

Il se souleva un peu afin que Stefano puisse passer une main entre leur deux corps et attraper son sexe, le gardant droit, prêt à être accepté en lui.

— Descends Azzio ... dit Stefano . Descends lentement.

La poitrine du mâle blond se soulevait au rythme de sa respiration saccadée.

Azzio appuya ses mains sur le ventre de Stefano et commença à baisser les reins jusqu’à ce que le gland humide presse directement sur l’entrée de son corps. Il frissonna, et ferma les yeux. Il descendit un peu plus, se pressant contre le sexe qui s’apprêtait à l’empaler. Azzio se cramponnait à deux mains aux flancs de Stefano , très fort et commençait à se dilater. Il haletait.

— Bien, Azzio ... l’encouragea Stefano , tu fais… ça... très bien.

Les jambes et les bras de Azzio tremblaient d’émotion, de tension. La main libre de Stefano lui caressa les hanches, rassurante. Le mâle attendait, le laissant faire D’un mouvement brusque, il s’enfonça un peu plus.

— Ça fait mal...

— Respire. Lentement. Respire… (Quand la main de Stefano saisit sa hanche, le mâle blond trembla, se contrôlant pour s’empêcher de bouger). Laisse passer la douleur, respire...

Azzio ne sut pas combien de temps il lui fallut pour s’habituer aux tiraillements de son corps – peut-être quelques secondes, peut-être une minute… – jusqu’à ce qu’il arrive à pousser encore. Á gagner quelques centimètres de plus sur le sexe de stefano qui gémissait presque autant que Azzio .

— Comme ça... oui… Oh Seigneur, Azzio . Tu es si étroit.

Sans que Stefano puisse l’éviter, ses hanches bougèrent légèrement. Azzio ouvrit soudainement les yeux en ressentant l’emprise de sa queue en lui. La sensation le frappa autant que la vision du mâle sous lui : la peau dorée couverte de sueur ; les cheveux blonds en bataille sur l’oreiller ; les lèvres rosées ; la longue et douce queue à moitié plantée dans son corps…

Azzio perdit complètement le contrôle de ce qu’il faisait. Il se laissa tomber sur Stefano , si brusquement que le mâle s’arqua dans un mouvement de pur plaisir, laissant échapper un gémissement étouffé. Il l’engloutit tout entier, d’un coup.

OH, BORDEL !

La décharge de douleur lui secoua le corps entier, remontant le long de sa colonne vertébrale, se mêlant avec la sensation de collision de ses testicules avec ceux de Stefano , complètement enfoui en lui. De toutes ses forces, Azzio crispa ses mains dans les côtes de l’autre mâle. Il avait le corps rigide, la tête baissée, les fesses serrées, et grinçait des dents.

Sans sortir de lui, Stefano lui jeta les bras autour du corps, l’étreignant et lui embrassant les cheveux tandis que Azzio gémissait et essayait de s’adapter à la sensation.

— Respire ! Azzio , respire ! Décontracte-toi. C’est bien... C’est ça... Relâche-toi doucement...

Azzio ouvrit les yeux. Il se trouva le visage enfoui dans la poitrine de Stefano, et respira au rythme de ses murmures, jusqu’à ce que la douleur atteigne à un niveau tolérable.

Oh, merde.

Stefano était en lui. Pulsant. Le remplissant.

Azzio se redressa progressivement jusqu’à se retrouver à cheval sur lui. Le mouvement entraîna cette barre d’acier qui glissa à l’intérieur de son corps. Azzio haleta, les yeux écarquillés.

Devant son expression Stefano eut un sourire de pure sexualité. Il lui attrapa les hanches à deux mains.

— Essaye… de bouger... Monte et descends.

Azzio le fit. Lentement. Contractant les cuisses pour se relever puis se laisser retomber. Son corps se dilata et se contracta, la queue de Stefano le caressant de l’intérieur. Très, très lentement.

Comme il le voulait. Comme il le décidait.

Azzio posa les mains sur le ventre du mâle blond, trouvant un rythme sensuel, glissant sur sa queue. Stefano levait les hanches pour venir à sa rencontre. Au rythme que marquait le rouquin, sans prendre les devants. Lui laissant l’initiative, s’enflammant entre les draps. Quelque chose commença à s’allumer dans le ventre de Azzio , une chaleur lente et profonde qui le fit haleter à la recherche d’air.

— Je voudrais... que tu puisses... te voir comme ça, murmura Stefano avec un sourire en coin. Laisse-moi te donner du plaisir.

Stefano fit glisser ses mains sur ses cuisses tandis que Azzio ondulait.

Tout d’abord, Azzio ne comprit pas ce que Stefano voulait dire. Jusqu’à ce que les mains du mâle le pousse légèrement vers l’arrière, le redressant au lieu de l’incliner vers sa poitrine. Cette fois lorsque les hanches de Stefano se soulevèrent, sa queue toucha quelque chose de sensible et d’électrique à l’intérieur du corps de Azzio .

Quelque chose qui était sur le point de l’envoyer droit vers l’orgasme.

— Qu’est-ce que tu as fait... ? Oh, merde...

Quand il se déplaça, il y eut encore ce frisson… ce point de chaleur allant de son ventre à son sexe jusqu’à ses bourses, venant de là où Stefano l’élargissait.

— Déplace-toi... tout simplement... Déplace-toi.

Azzio lui accorda sa foi, aveuglément.

Il pencha son corps en arrière, contractant les muscles de ses cuisses pour le soulever de haut en bas, pour rechercher cette friction intérieure, et il pleura presque quand il la trouva. Le monde autour de lui – mais aussi l’insécurité, la peur de sa sexualité, et toute la merde amassée dans sa tête – furent jetés aux oubliettes quand Stefano et lui commencèrent à bouger en même temps, synchronisés. Les deux mâles haletaient au son glissant du sexe mêlé aux martèlements de leurs testicules cognant les uns contre les autres et aux grincements des ressorts du lit.

Quand la main de Stefano se referma autour de sa queue qui suintait, Azzio perdit le rythme avec un grognement avant de le récupérer à la volée pendant que son amant le caressait.
C’était plus qu’il n’en pouvait supporter.

Les yeux gris de Stefano étaient rivés aux siens, brillants d’une certaine émotion qui allait bien au-delà de l’orgasme. Celui-ci, quand il arriva avec la force d’un ouragan dévastateur, les laissa épuisés. Leurs hanches se cognèrent, violemment. Azzio transpirait. Son corps lui faisait mal et palpitait en même temps. Cette longue queue – plantée en lui – l’ouvrait et le fermait. Il voyait aussi Stefano le masturber devant leurs nez, tandis qu’ils gémissaient tous les deux. C’était la première fois depuis des années qu’il se sentait de chair et de sang au lieu d’une ombre et...
Stefano décolla du lit avec un gémissement, s’enfouissant jusqu’à la garde en lui.

Quand Azzio sentit les jets de son sperme chaud, l’emplissant par à-coups, il gémit, se tordit et jouit dans la main de Stefano comme si cette putain de baise était la chose la plus naturelle et la meilleure au monde. Il voulait donner plus à ce mâle qui lui avait permis de se sentir un homme. Mais, bordel, il ne savait pas comment...

Azzio ne remarqua même pas quand le mâle s’arrêta et scella ses plaies d’un coup de langue. Il resta affaissé sur lui, sa tête contre son cou, humant son odeur profonde, jusqu’à ce que le mâle bouge un peu, glissant hors de lui. Azzio gémit encore.
Les deux amants basculèrent sur le côté, encore enlacés.

— Ca va... ? lui demanda Stefano doucement.

Azzio ouvrit un oeil, un seul.

— Oui... je crois…

Enfant de la nuit
« « Le choix de la vie »


« C'est un bien beau masque que tu as là... »

Un sursaute avait envahi son corps alors que son regard observait rapidement la pièce pour trouver la source de ce murmure. Ce ton de voix lui était inconnu mais dangereuse par la vérité de ses propos.

« Tu cherches au mauvais endroit, jeune homme. »

« Où vous cachez vous ?! Montrez-vous pendant qu'il est encore temps, je serais plus indulgent avec votre sanction. »

« T'a-t-on déjà dit que tu étais amusant ?! »

« Vous avez peur de moi à vouloir vous cacher ainsi. »

« Non, c'est plutôt toi qui a peur en te cacher derrière ce masque de cruauté. Pauvre agneau qui recherche désespérément à ressembler à un loup. »

Stefano venait de quitter la salle de bain pour se diriger vers sa chambre, son regard était sombre mais inquiet de ne pas pouvoir identifier la personne de ses murmures. Il tentait de se convaincre que l'inconnu mentait dans ses paroles, que son masque était parfait et ne pouvait se briser. Sa vie tout entière se résumait à ça, cette façade d'arrogant un brin cruel et autoritaire. Qu'il avait dû créer et apprendre pour se protéger de son Père.

« Je te l'ai déjà dit... Tu cherches au mauvais endroit. »

« Qui êtes-vous ??!! »

« Ton sire. »

« Mon sire ? C'est quoi ce délire. »

« Un vampire »

« Je pense que Père m'a tapé un peu trop fort, la douleur a amené avec elle la folie... »

« Attention gamin, je risque de mal le prendre si tu me traites de folie et puis tu es déjà fou. N'as-tu pas créer toi-même ce masque afin de t'éviter d'être toi. »

« Ce n'est pas comme si j'avais réellement le choix. »

« Et dit moi ce masque n'est-il pas dur à porter ? »

« Non... »

« Je te donne le choix que je n’ai jamais eu … Mourir ou me rejoindre et vivre la nuit a mes côtés le t'offre mon aide, ma force»

« D'accord... J'accepte. »



Le début de la fin
« « Lettra »


Maman,

Je sais que tu ne me trahiras pas, je sais que tu ne dirais rien à père, aussi je vais t'avouer les choses que tu redoutes, ainsi peut être seras-tu plus sereine, ou le seras-tu encore moins, mais tu ne pourras pas dire que je te cache des choses. Je n'ai pas suivi à la lettre les recommandations qu'il m'a faites, je n'ai pas rangé mes désirs dans un coin de ma tête. J'y ai succombé, j'ai été faible, mais la folie qui me guette lorsque je tente de refouler tous les sentiments et les envies qui m'animent sont parfois dangereuses. Aussi je préfère me laisser aller à ces plaisirs qu'il qualifie d'impensables et de malsains et Sin m'aide a les satisfaire . J'ai changé , je suis comme lui a présent , je n'aurais plus a subir la colère immonde de son monstre qu'est mon paternel . Je du trouver d'autres moyens d'évacuer cette pression que la violence. Et je me laisse tenter par les plaisirs de la chaire. C'est le seul moyen mis à ma portée pour contrôler cette rage destructrice que tu as eu le malheur de voir une fois. Je suis mauvais, au fond de moi, tu le sais.
Tout se passe bien, tu t'inquiètes beaucoup trop. Je sais que mon comportement a pu vous faire peur, à papa et à toi, surtout à toi. Mais ce n'est pas la peine de m'envoyer tant de lettre. Je suis avec vous, et ici je ne suis pas seul non plus. J'ai des personnes sur lesquelles compter. Des personnes qui sont là pour moi, pour m'aider dans les moments de doutes, les moments difficiles, Sin notamment , je lui appartient a présent .Je suis devenue comme lui ... Il m'arrive peut-être de dépasser les limites, parfois, mais rien de très inquiétant, je te rassure, je fais en sorte que tout se passe pour le mieux, comme je l'ai toujours fait. Ai confiance en moi, encore un peu.Azzio ... Dis lui que je l'aime

Adieux maman

Je pense fort à toi, Stefano .

Enfant de la vie
« Les joies de la non mort »


Il sentait la colère l'envahir, complètement, littéralement. Il voulait leur faire mal, à tous. Tous. Les muscles de sa mâchoire se contractaient, il était sur les nerfs. Son regard était plus polaire que jamais. Ses larbins immonde rassemblés autour de lui le lassaient, ils voyaient tous que bientôt la folie le submergerait et que le seul moyen pour qu'il se calme serait qu'il assouvisse ses pulsions de violence. Ils se taisaient tous maintenant. Ils ne voulaient pas être sa cible. Quand il était comme ça, très peu arrivait à lui tenir tête, à le raisonner. Il devenait totalement incontrôlable et ce moquait bien que sa victime soit un de ses ancien amis. Il devait juste se déchainer. Peu lui importait sur qui.

Quelques minutes plus tôt, rien n'aurait pu présager la tempête qui faisait maintenant rage en lui. Il était calme, tranquille, observant tout ce qui l'entourait. Puis ses yeux s'étaient posés sur lui, puis sur elle. Sur elle. Une petite garce d’une vingtaine d’année, une petite pouffe qu'il détestait, à tourner autour de n’importe qu’elle homme, à mettre sa poitrine en avant, jouant malicieusement avec ses cheveux. Une petite salope à qui il voulait tordre le cou. Parce qu'il lui en voulait tellement de se comporter ainsi, quand lui était obligé de se cacher, d'être toujours plus discret, toujours plus effacé. Comme il aurait aimé pouvoir être une de ces greluches, pouvoir se dandiner devant les mecs et crier haut et fort ses désirs. Dire au grand jour qu'il aimait les hommes. Mais lui ne pouvait pas, cela ne lui était pas permis. Lui devait jouer les hétéros, il devait être un garçon irréprochable, il devait assurer une descendance à sa famille. Ses poings s'étaient serrés. La tension était montée. Il s'était même mordu l'intérieur de la bouche jusqu'au sang.

Il s'était levé, le peu de raison qu'il lui restait l'empêchait de s'attaquer à ses compagnons, ils n'y étaient pour rien, il trouverait une autre cible, il trouverait son exutoire. Et la pauvre jeune fille qu'il croisa quelques minutes plus tard fit parfaitement l'affaire. Elle regretterait d'être passée seule, dans ce couloir, à cet instant. Elle allait vivre l'un des instants les plus difficiles de toute son existence. La vie est cruelle, c'est bien connu. Elle ne vit pas arriver la main du vampire qui percuta dans l'abdomen. Elle n'eut même pas le temps de hurler. Il la fit voler devant lui, jusqu'à la première salle qu'il trouva. Une sale amoché par le temps. Il ne regarda même pas où elle était tombée. Elle n'aurait aucun moyen de s’échapper de toute façon. Il ne lui en laisserait pas l'occasion.

Le premier coup qu’il porta a la jeune femme la fit gémir de douleur et se débattre contre le mur. Il ne lui offrit pas le temps de souffler que déjà son poing frappa son visage d’ange a présent couvert de sang. Son agonie dura longtemps, tellement longtemps. Ses cris et ses gémissements ne lui servaient à rien, la pièce avait été insonorisée par le père du jeune homme. C’était la sale qui l’utilisait quand il le battait . Tout au plus ils excitaient la folie destructrice du blond. Il enchaîna sur coup dans la poitrine bloquant sa respiration déjà haletante, puis il s'approcha d'elle, lentement, savourant son agonie. Il se mit à rire. Un rire glacé, perçant, de ceux qui s'infiltrent en vous, qui vous gèlent le sang, de ceux que l'on ne peut oublier. Il s'agenouilla à ses côtés, il croisa son regard et la fixa un long moment ainsi. Ses prunelles ne laissaient entrevoir que de la démence. Il n'y avait presque plus rien d'humain. Ce n'était plus Stefano face à elle, ce garçon calme, tout en retenue mais le monstre , le vampire . Il n'était qu'aliénation. Elle allait souffrir, tellement souffrir. Et le savoir ne donnait au garçon que plus envie de sourire. Il semblait heureux de lui infliger cela. Et s'il paraissait heureux, c'est parce qu'il l'était. Pourquoi serait-il le seul à avoir mal ?. Il n'était pas égoïste, il aimait partager.

Les yeux noisettes lui disaient quelque chose. Il l'avait sans doute déjà croisé. Il lui semblait qu'elle était une fille d’un ami de la famille, si ses souvenirs embrouillés par son délire étaient bons. C'était plutôt pour arranger ses affaires, il aurait moins d'ennuis si on remontait jusqu'à lui. Elle tremblait. Son regard le suppliait d'arrêter, mais il n'en ferait rien.. Rien d'autre ne comptait à présent que ce qu'il allait lui faire, et surtout du plaisir qui en découlerait, de la libération qu'il en éprouverait. Il posa sa main sur sa tête, glissant ses doigts dans ses cheveux, qu'il caressa. Il se pencha sur elle, presque contre elle. Du bout de sa langue il essuya une larme qui coulait sur la joue de la brune apeurée, la léchant du coin de ses lèvres jusqu'à sa pommette. Puis il se rapprocha de son oreille et lui murmura quelques mots qu'il voulait rassurant.

Chut, chut, n'ai pas peur, ne pleurs pas. Tu verras ce ne sera pas si affreux. Et promis je ne te violerais pas, tu n'es pas du tout mon genre.

Il n'imaginait pas une seule seconde que chacun des mots qu'il avait prononcé faisait tout sauf la rasséréné. Mais il était aveuglé par ses propres désirs, il était aveuglé par ce besoin viscéral qu'il ressentait de la torturer. Elle payera pour toutes les autres, elle aussi. Il détestait les femmes, il les haïssait, il les maudissait : il les envihait tellement. Il se mit à califourchon sur elle, elle ne se débattait même pas, elle semblait résignée. Il était désormais penché au-dessus d'elle, d'une main il maintenait sa nuque, arrachant quelque cheveu au passage, et de l'autre il caressait son cou en une caresse perverse. La griffant douloureusement au passage

Chuut tout va bien.

Le corps de la pauvre jeune fille s'anima de sursauts, elle tentait de se recroqueviller, mais il la tenait et l'empêchait de bouger. La caresse s’arrêta, elle pleurait plus que jamais. Il ne lui laissa aucun répit. Il lâcha son cou, se redressa et arracha son chemisier. Il commença à tracer des lignes de sang sur sa peau claire. Il ouvrait sa chaire de la pointe de ses doigts. Le liquide rouge coulait en abondance, il gicla même sur sa chemise à un moment, son pantalon s'en couvrait. Et il aimait ça. L'exaltation se lisait dans les traits de son visage. Elle tenta d'attraper sa main, pour le repousser, mais en vain, elle n'avait pas assez de force. Elle reçut juste une énorme gifle, pour punir sa tentative de rébellion. Puis une autre, et encore une, suivie d'une quatrième. Du sang commençait à nouveau couler de son nez, elle était à moitié assommée. Approchant sa bouche du cou de la jeune fille, il implanta brutalement ses canines dans la peau douce de la gamine. Lâchant un soupir de plaisir quand la première goute de sang s’égara dans sa bouche. La femme tressautait a chacune de ses sucions se tordant de douleurs contre lui.

Il s'arrêta, se releva et contempla son œuvre. Fier de lui. Il traça quatre lettres sur le mur à l'aide du sang dans lequel elle gisait, respirant à moitié. Pute. C'était tout ce qu'elle était, c'était tout ce qu'elle avait le droit d'être, elle n'avait que ce qu'elle méritait. Au moins n'était-elle pas morte. Il sortit, digne, plus calme. La folie le quittait peu à peu. L'adrénaline retombait, il retrouvait ses esprits. Il était plein de sang, le sang de cette pauvre jeune fille dont le seul crime était d'avoir croisé son chemin au mauvais moment. Il s'en serait presque voulu si en lui il n'avait pas senti le joie de son sire

Le début de la vrai vie
«Les joies de nuit »


Il transforma son frère quelques années plus tard , ne supportant pas de vivre sans celui qui considérais comme sa vie . Tuant n'importe qui par plaisir il ne s’était jamais retenu, impliquant son frère dans ses crimes immonde ; C'était un vampire il répondait à chaque pulsion sans chercher à la retenir. Chacun pensent que les vampires sont des machines à tuer, emplis de morgue et d’acrimonie. La légende de Dracula a sans doute conforté cette opinion dans l’esprit des gens, qui est pourtant emprunte de préjugés - car fausse. Tous les vampires ne sont pas tels que ceux décrits ci-dessus. Tous ne sont pas des êtres froids et asociaux, qui assassinent par pur plaisir sans penser aux conséquences de leurs actes. Mais certains humains persistent à croire cela indûment ; et Stefano alessandro di renzo pourrait témoigner en leur faveur ; car il est de ces vampires sanguinaires et affreux. Véritable parangon d’horreur à lui seul, il aime tuer sans aucune vergogne et ne manque pas de le faire dès que l’occasion se présente à lui. Et s’il a faim, cela lui est d'autant plus jubilatoire, car il éprouve l’impression d’être poussé par une cause un minimum positive.
Le soleil s’était enfin couché, laissant place à une douce pénombre qui finirait par prendre définitivement place d’ici à quelques heures. L’obscurité serait quasi-totale, car nous étions un jour où la lune ne brillerait qu’à son quart.Le temps passa , les guerres ...Il finit par rejoindre son frère a Shreveport , achetant un manoir pour rester près de lui


code by me merci de ne pas l'utiliser pour ces rp ou ces fiches merci




Dernière édition par Stefano A. Di Renzo le Jeu 1 Nov - 18:20, édité 1 fois
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Stefano A. Di Renzo
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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptyJeu 1 Nov - 18:15

Voilà x)
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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptyJeu 1 Nov - 18:18

Bon retour parmi nous ! Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> 3477152822
Je te demanderai de modifier le titre de ta fiche mettant ton prénom en premier car les fiches sont rangées par ordre alphabétique.
Allez file rp ! Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> 510814159
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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptyJeu 1 Nov - 18:20

Merci beaucoup ♥
Voilà j'ai changé !
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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptyJeu 1 Nov - 18:32

Bienvenuuue !!! =D !! Bonne chance pour ta fiche beau vampire !!
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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptyJeu 1 Nov - 18:39

Merci ! Mais elle est finish x)
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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptyJeu 1 Nov - 19:53

Re- bienvenue Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> 3477152822
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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptyJeu 1 Nov - 21:32

Re bienvenue =)

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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptyVen 2 Nov - 0:07

Merciiiiiiii ♥
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Rebienvenue frérot =)
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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptyVen 2 Nov - 12:52

Re bienvenue Stefano Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> 3248139268
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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptyVen 2 Nov - 15:07

Re-bienvenue parmi nous ! Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> 3248139268
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Stefano A. Di Renzo
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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptySam 3 Nov - 1:26

Merci ♥
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Azzio F. Di Renzo
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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> EmptyMer 7 Nov - 12:52

Euh parcontre, c'est normal qu'il est validé mais n'ai pas encore son groupe ? Enfin je dis ça je dis rien... *S'eclipse rapidement*
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MessageSujet: Re: Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Stefano ! <<Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme >> Empty

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